La maison aux fraises du banquier Ivanov
Localisation / GPS: 42.698286819348525, 23.327051840059653
Installations à proximité: Le jardin du docteur
Objet public / Objet privé: Externe
La maison aux fraises du banquier Ivanov"La maison aux fraises" embellit toujours la rue "San Stefano" juste après la rue "Oborichte". Son nom vient des fraises décoratives qui poussent dans sa cour. Elle est construite en 1927-1930 pour le banquier Dimitar Ivanov et sa femme Nadejda Stanokovitch. Elle est de 500 mètres carrés environ et possède trois entrées. L’entrée principale représente une colonnade de courbe remarquable avec un escalier extérieur.
Le bâtiment, construit entre 1927 et 1930, est conçu par l’architecte bulgare Georgui Kunev, qui a étudié à l’École artisanale (des arts appliqués) de Vienne et à l’Ecole supérieure technique de Karlsruhe. Il y des témoignages que la maison avait cinq chambres à coucher, des salons pour les invités, une estrade de musiciens, un grand cabinet, des chambres pour les domestiques, une porche, des portes avec des vitres de cristal, une cheminée de marbre rouge, des bas-reliefs…Il est douteux qu’on sache quel est le destin de l’ameublement – à l’époque les riches familles bulgares achetaient les meubles surtout à Vienne. Puisqu’une grande partie de la clôture est démolie, chacun peut entrer dans la cour et dans la maison, qui a été une ambassade, quartier général de résidence étrangère, siège d’une société commerciale. Aujourd’hui ce bijou architectural est tombé dans l’oubli, bien qu’il soit proclamé monument culturel depuis la lointaine 1978.
Le bâtiment, construit entre 1927 et 1930, est conçu par l’architecte bulgare Georgui Kunev, qui a étudié à l’École artisanale (des arts appliqués) de Vienne et à l’Ecole supérieure technique de Karlsruhe. Il y des témoignages que la maison avait cinq chambres à coucher, des salons pour les invités, une estrade de musiciens, un grand cabinet, des chambres pour les domestiques, une porche, des portes avec des vitres de cristal, une cheminée de marbre rouge, des bas-reliefs…Il est douteux qu’on sache quel est le destin de l’ameublement – à l’époque les riches familles bulgares achetaient les meubles surtout à Vienne. Puisqu’une grande partie de la clôture est démolie, chacun peut entrer dans la cour et dans la maison, qui a été une ambassade, quartier général de résidence étrangère, siège d’une société commerciale. Aujourd’hui ce bijou architectural est tombé dans l’oubli, bien qu’il soit proclamé monument culturel depuis la lointaine 1978.
